De la bourse NELGA au poste de conseiller GIZ – L’histoire de la réussite d’Anthony

Travailler avec la GIZ me permet de rendre à l’organisation ce qu’elle m’a donné en utilisant les compétences et les techniques que j’ai acquises dans le cadre du programme de bourses d’études soutenu par la GIZ – Anthony Sarfo

L’une des meilleures choses qui me soient arrivées en 2018 après avoir terminé mes études de premier cycle en planification des établissements humains a été de faire partie du programme national de l’Office allemand d’échanges universitaires (DAAD) dans le cadre du renforcement de la gouvernance foncière en Afrique (SLGA) par l’intermédiaire du Réseau d’excellence en matière de gouvernance foncière en Afrique (NELGA). Cette bourse m’a permis de mener des recherches sur la contextualisation de la planification de l’utilisation durable des terres en intégrant les principes de la technologie géospatiale en tant qu’intrant et précurseur de la gouvernance foncière dans les zones urbaines de petite et moyenne taille.


J’ai ainsi obtenu un master et un poste à la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit GmbH (GIZ).
Le programme NELGA est adaptable et offre des opportunités de développement professionnel et académique. Une série d’événements de formation et de mise en réseau ont été organisés pour améliorer le coapprentissage et les capacités des chercheurs en matière d’approches et de méthodologies de recherche, de collecte de données et de communication scientifique. J’ai également participé à un cours d’été dans le cadre du programme de formation de l’université Goethe de Francfort-sur-le-Main sur le thème de l’analyse des données environnementales et de télédétection par le biais des technologies géospatiales dans le cadre de la recherche et de l’enseignement. Cela a renforcé mes capacités en matière de technologies géospatiales, de communication académique, de soutien et d’orientation, et de didactique de l’enseignement supérieur. J’ai pu m’inscrire à deux cours supplémentaires : l’acquisition et le traitement d’images numériques au département de géomatique et la documentation spatiale des droits fonciers au département d’économie foncière de la KNUST.


Grâce aux compétences acquises, ma première publication pendant le programme de bourses portait sur la corruption dans la gouvernance foncière au Ghana et s’intitulait « Towards Elimination of Corruption in the Land Sector : Incorporation of Geospatial Technologies in Land Governance at the Local Level » (Vers l’élimination de la corruption dans le secteur foncier : incorporation des technologies géospatiales dans la gouvernance foncière au niveau local), publiée dans l’African Journal on Land Policy and Geospatial Sciences. L’article propose un cours pour l’incorporation de la technologie dans la gestion foncière comme un effort indispensable pour éliminer les goulots d’étranglement et contribuer à la lutte contre la corruption dans le secteur foncier. Pour en savoir plus, cliquez ici. Deux autres publications issues de mes études de maîtrise sur la conceptualisation de l’aménagement durable du territoire pour la gouvernance foncière et l’évaluation du développement spatial non durable de deux villes intermédiaires par le biais de l’observation de la terre sont sous presse. Les compétences supplémentaires que j’ai acquises m’ont permis d’entreprendre des travaux de conseil sur l’aménagement du territoire et de donner des cours auxiliaires dans une université prestigieuse du Ghana.


Je cherche à contribuer aux méthodologies pour des pratiques de planification efficaces au Ghana dans le domaine de la durabilité, de l’observation de la terre, de la gouvernance foncière, du changement climatique et du genre. Je travaille actuellement avec la GIZ sur le projet REACH (Resilient Against Climate Change) en tant que conseillère technique (SIG et télédétection). Le projet, mis en œuvre dans le nord du Ghana, vise à promouvoir une croissance économique inclusive et durable et à accroître les résultats agricoles dans les communautés rurales de la zone de programme conjoint (JPA). En outre, il est prévu que la planification au niveau communautaire soit améliorée grâce à des plans d’action communautaires participatifs (CAPS) et des plans d’utilisation des terres communautaires (CLUP) dans au moins 200 communautés de la zone de programme conjoint. Je considère qu’il s’agit là d’une occasion d’utiliser les compétences et les techniques acquises au cours de mes études dans le cadre du programme de bourses d’études de la GIZ.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)